Elevé dans une famille de professionnels en soins de santé, le Dr Ken Hamin n’a surpris personne lorsqu’il a décidé de poursuivre une carrière en dentisterie. Après avoir obtenu son diplôme du programme de médecine dentaire de l’Université du Manitoba en 1988, Ken a commencé une résidence d’un an au sein d’un hôpital de Saskatoon. L’année suivante, il a fait l’acquisition de sa première clinique dentaire, le Campus Dental Centre, à Winnipeg, sa ville natale. Peu de temps après, il a ouvert le Reflections Dental Health Centre, soit la clinique où il a pratiqué la dentisterie au cours des trois dernières décennies.
Ken figure parmi les premiers professionnels de la province à avoir adopté la radiographie numérique. Il considère en outre que son investissement continu dans les dernières technologies a contribué à garder sa clinique à l’avant-garde de l’industrie. « Depuis sa création, cette clinique entièrement numérique n’utilise ni latex ni amalgame », a-t-il mentionné. « J’étudie toute nouveauté ou toute amélioration qui fait son apparition au sein de l’industrie, qu’il s’agisse de procédures techniques ou de nouveaux matériaux, en vue de l’offrir à mes patients. »
Professeur à la faculté de médecine dentaire de l’Université du Manitoba depuis plus de 25 ans, Ken se sent privilégié d’être en mesure de transmettre ses connaissances aux nouveaux cliniciens et de contribuer à l’avancement de ce domaine. « La possibilité de m’instruire et de former d’autres professionnels est ce qui m’anime au plus profond de mon être. La capacité d’aider à changer la vie des gens en les renseignant sur leur bien-être buccodentaire et physique est inestimable. » Pour Ken, l’apprentissage et le développement professionnel représentent un engagement à vie. « Je souhaite parfaire ma formation et ma croissance jusqu’à ce que je sois physiquement incapable de le faire », a-t-il indiqué.
En ce qui concerne ses patients, Ken croit fermement à l’importance des soins prodigués avec compassion. « Je me demande toujours ce que je ferais si c’était un membre de ma famille. Je retire l’argent de l’équation et je prends des décisions thérapeutiques en fonction des meilleurs soins possible pour chaque patient. »